vous êtes ici : accueil > INFOS LUTTES

Vos outils
  • Diminuer la taille du texte
  • Agmenter la taille du texte
  • Envoyer le lien à un ami
  • Imprimer le texte

La visite de Bruno PARENT telle que vous ne la relate pas ULYSSE

Le DGFIP était donc sur TOULOUSE le 9 février, et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il ne fût pas simple de le voir.

Après avoir évoqué, dans son programme initial, une brève rencontre de 45 mn pour 4 organisations syndicales (il ne pouvait pas faire mieux !), il fût contraint, bravant le froid, de venir écouter, pendant une bonne heure et demie, les manifestants venus de toute l’Occitanie.

Les écouter, parce que pour ce qui est de les entendre...

Les représentants des différents départements égrenèrent, chacun leur tour, leurs doléances, citons pèle-mêle :

 l’abandon du déploiement de l’accueil personnalisé
 la fusion contre toute logique, hormis celle désormais bien connue des économies d’échelle, de deux services de la DISI
 la disparition de multiples postes comptables en Occitanie
 l’absence de moyens pour un service public de qualité
 la perte de sens et de qualité dans le travail,

Et en définitive, mais pourquoi aurions-nous dû être surpris, peu de réponses, ni d’annonces de renoncement. Tout va bien, ou pas si mal, et comme d’hab’, il faut savoir s’adapter...

L’entrevue s’acheva brutalement et par une volte face du DGFIP, lorsque mis en difficulté par notre camarade José des Hautes-Pyrénées, qui l’interrogeait sur le problème de l’accueil téléphonique dans son département et la consigne donnée par la DDFIP de ne plus décrocher l’après midi, il ne sût que répondre.

A sa décharge, la question n’était pas simple, remplir un service public de qualité sans moyen, y’a de quoi sécher !

Article publié le 15 février 2017.


Politique de confidentialité. Site réalisé en interne et propulsé par SPIP.